On ne se lasse pas de Panormitis, de son incroyable sérénité, de son dépouillement, de sa simplicité unique. Il n’y a rien, hormis la baie toute ronde et le monastère baroque. Mais arriver là la veille du Vendredi de Pâques n’est pas une mince affaire, les chants orthodoxes venus des fidèles réunis dans la chapelle nous ont bercés la nuit entière. Une véritable magie. Seuls un voilier belge, voisin de quai, parti à l’aube, nous a rappelé l’existence du monde extérieur. Ils ont d’ailleurs pris notre arrivée en photo, depuis le moulin.
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