Un grain aux Bahamas

Impressionnant, des vents à 45 noeuds en quelques minutes, retombés une demi-heure après. Vagues énormes sur le banc, devant Highbourne Cay, les bateaux décrochent. L’un d’eux, dont l’ancre tient, doit éviter les autres qui passent à côté, en manoeuvrant au moteur, l’ancre toujours accrochée ! Les skippers, au restaurant de la marina, se précipitent sur leurs annexes pour retourner à leur bateau à la dérive. Heureusement, le courant montant les arrête un peu plus loin. Pas de dégât. Thula Thula est rentré à la marina un quart d’heure avant, malgré l’absence de réponse du bureau aux appels VHF (à six heures, on ferme !). Beaucoup de chance aussi, à vrai dire comme dans tout le voyage, le bateau est passé entre les gouttes, a évité tous les coups de vent.
Pinzón, le commandant de la Pinta, a perdu un bateau ici en 1500, l’épave est toujours là.

        

Quelques jours plus tôt, en arrivant à Georgetown :

   

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