Paradise island

mérite mal son nom. De l’autre côté de Nassau, reliée par deux ponts, l’île est plutôt l’enfer du factice, de la consommation artificielle et, à la marina et dans les palaces (25 000 dollars la nuit, DSK est battu), du luxe ostentatoire et exorbitant. C’est le règne du kitsch numéro 2, à une échelle démesurée. Mais la curiosité, et le fun, impliquent de visiter ce Disneyland aquatique, l’opposé total du reste des Bahamas, paradis naturel bien réel qui donne à l’Etat-archipel sa réputation mondiale : Bahamas, nom magique, nom puissamment évocateur, ce n’est pas pour rien.
Tout ça est censé tourner autour du thème de l’Atlantide engloutie, « Atlantis Resort », parfois avec un certain succès, comme dans les immenses aquariums, parfois dans un mauvais goût total, comme avec des pyramides Maya transformées en toboggans géants pour baigneurs…

           

« Une version confirmée par Paul Mc Cartney sur scène attribuerait le choix du prénom, à une jeune fan française rencontrée dans un hôtel parisien. »

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