A boat is always there – you never stop worrying about her whether you are aboard or ashore – she is always a presence in the mind and you’re conscious of her at all times. She may be laid up in some safe berth for the winter or hauled out of the water in a yard, but wherever you may be – at home in your virtuous bed or roistering in some gay spot, a chorus girl on each knee and the air thick with flying Champagne corks – a part of your consciousness is always reserved. When the wind moans round the eaves of the house it has a special significance, and you check off in your mind, one by one, the possible sources of danger. Men lie awake worrying about their bank balances, their waistlines, their wives, their mistresses actual or potential; but sailors worry about boats.
Archive for mars 2013
La petite voix
13 mars 2013Sea Bird
6 mars 2013Une autre traversée, sans problème celle-là, est celle de Sea Bird, yawl de 26 pieds, en 32 jours, en 1911. De Providence (Rhode Island) à Gibraltar, en passant par les Açores.
A l’époque la voile était l’affaire des seuls gens riches, très riches, surtout en Nouvelle Angleterre, lieu de résidence par excellence des patriciens et des grandes fortunes aux Etats-Unis. En achetant et en retapant un bateau de pêche tout à fait commun, considéré comme très laid et peu marin par les yachtmen snobs de la côte Est, Thomas Fleming Day a voulu montrer les capacités de ce genre d’embarcation. Une durée de traversée record pour l’époque, un parcours sans faute, l’histoire est relatée ici (revue Sail, Feb. 2008) :
Sur l’eau (et en dessous)
2 mars 2013The Ocean River
1 mars 2013Ponce de León, le découvreur de la Floride, est le premier Européen à avoir expérimenté le courant du Gulf Stream, il constate en 1513 que malgré un vent favorable son navire recule au lieu d’avancer… Pas étonnant, avec le flux du sud vers le nord à trois ou quatre noeuds, dans le détroit de Floride (Florida Straits), le rétrécissement entre le continent et le plateau des Bahamas, flux qui s’apprête à remonter toute la côte nord américaine et traverser l’Atlantique, son bateau ne pouvait que subir la force du flot. Les galions espagnols venant des Antilles, du Mexique ou d’Amérique du Sud, utiliseront le courant pendant des siècles pour rejoindre le Vieux Continent.
https://www.francetvinfo.fr/replay-jt/france-2/20-heures/inde-la-bataille-des-cerfs-volants-bat-son-plein-durant-le-festival_5696597.html