Le peintre allemand Jan Siebert, basé au Brésil, présente la Natureza urbana, en réunissant ces deux termes antinomiques, nature et cité, un peu comme Alphonse Allais avec ses villes à la campagne. La tristesse des personnages, et leur lassitude, toujours des femmes, est ce qui frappe le plus dans son oeuvre qui rappelle un peu Edward Hopper, dans le trait, les expressions et les couleurs. Exposition au Centro Cultural Correios à Rio.
Às vezes, um local movimentado durante o dia não chama a atenção, é quase invisível, pois as pessoas estão em trânsito, ninguém os vê. São lugares de passagem. Entretanto, à noite, ganham vida, embora desertos.
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