Where Israel meets Brazil

Dans les rues de Belmonte, au Portugal, au pied de la Serra da Estrela, en été, les touristes brésiliens et israéliens se pressent. Pourquoi ? La petite ville de montagne est d’abord le lieu de naissance de Pedro Álvares Cabral, qui a découvert le Brésil pour le Portugal en avril 1500, en allant vers les Indes. Et ensuite, parce que, depuis le XVIe siècle et les persécutions de l’Inquisition, elle est devenue un refuge pour les juifs. Elle compte encore aujourd’hui une communauté forte de 7 ou 8 familles, une quarantaine de personnes. Le village est magnifique, l’accueil est somptueux. Le restaurant Fio de Azeite, un régal.

Let me do the talking!

Le musée de Young à San Francisco présente une exposition sur les affiches de propagande pendant les guerres mondiales. A Salamanque, à la maison des archives de la guerre civile, on retrouve le même thème.

De St Malo à Estoril

En passant par Roscoff, Bilbao, Burgos et Salamanque.

Les Mutins sont mutins

Ils sont mutins les Mutins, ces habitants d’un DOM imaginaire des Caraïbes, mutins dans les deux sens du terme. Révoltés d’abord, rebelles, insoumis, puisque le roman nous replace dans la grande grève et les émeutes de 2009 aux Antilles, à l’époque du président Sakko, contre la ‘pwofitasyon’, autrement dit l’exploitation outrancière dont les habitants se sentent victimes, levés à la fois contre les patrons locaux et l’Etat français employeur. Mais mutins aussi dans l’autre sens, espiègles, taquins, malicieux, badins, notamment au plan des mœurs, et surtout sexuelles, galipettes, cabrioles et culbutes, dont le livre nous fait part le plus crûment et innocemment du monde.

La chasse au tigre

On ne présente pas Rubens bien sûr, mais François Desportes est bien oublié. Les deux nous présentent des scènes de chasse au musée des beaux arts de Rennes, au tigre pour Rubens, au loup pour Desportes.
Spectaculaire.