La reine morte

La reine morte, c’est Inês de Castro, et c’est aussi la pièce de Montherlant (1942) qui reprend son histoire tragique. Le couple royal, Pierre Ier du Portugal et Inês, vit une histoire d’amour qui défie le temps et reste dans la mémoire ibérique à l’égal de Roméo et Juliette, avec cette différence que les personnages ont ici réellement existé. Les deux tombes sont dans le monastère d’Alcobaça, pas loin de Nazaré, superbe témoignage du Moyen Âge à son apogée (fin XIIe-début XIIIe siècles).

Inês de Castro, pressentant les assassins, Francisco Metrass, 1855, musée du Chiado, Lisbonne

 

Inês et Pierre

Monastère d’Alcobaça, église

Étiquettes : , , , , , ,

Une Réponse to “La reine morte”

  1. La splendeur d’Alcobaça | Le journal de Joli Rêve Says:

    […] Sur 'Joli Rêve' et 'Thula Thula', et ailleurs… "One always travels ahead of oneself" Proverbe touareg « La reine morte […]

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s


%d blogueurs aiment cette page :