Le boa qui digère un éléphant

Lavande papillon, figuier de barbarie et griffes de sorcière

Un chapeau de Napoléon. C’est le cap Cartaya ou Taillat, près de Ramatuelle. Ou un boa qui digère un éléphant…

Dans l’été 2022

Entre Normandie et Midi, en passant par la Lozère et l’Aubrac, avec un arrêt à Chartres. Et un petit tour en Picardie, dans la baie de Somme.

Dans le bas Verdon

A Quinson et Moissac. Depuis la Bastide du Calalou.

Mont

et merveilles…

Bis repetita, etc.

La Cancalaise, devant Cancale

Retour à Saint-Cast, découverte pour Michel et Nicaise, et rando à nouveau de Fort La Latte au Cap Fréhel. Depuis Granville, AR.

Le Havre de la Vanlée

Ce nom mystérieux est tout simple en fait : la Vanlée est une petite rivière qui se jette dans la Manche à l’ouest du Cotentin, à 10 km au nord de Granville, et un cordon littoral de dunes forme un abri, un havre, comme on le voit sur la carte ci-dessous. Il s’agit en effet de la Côte des Havres. Havre non accessible aux bateaux à quille, avec les très fortes marées de la baie. Le coin est peu connu, sauvage, la plage infinie, la balade superbe. On peut se baigner dans un courant qui vous porte sur une longue distance, sans danger. La route qui traverse l’estuaire du petit fleuve, la plus haute sur la carte, est submergée lors des grandes marées. Des moutons en liberté broutent partout les prés-salés, des terriers dans tous les sens laissent imaginer une vie souterraine très active. 🙂

Août sur la Côte

d’Azur, bien sûr…

Ressourcement

Quoi de mieux, après deux mois de confinement, que d’aller se ressourcer dans les Cévennes et en Lozère ? Le paradis en juin… Une chambre d’hôtes extraordinaire, entre Ste Enimie et La Canourgue, avec sauna extérieur et piscine intérieure, le sauna en forme de tonneau donne sur la nature. C’est à La Vialette, sur le causse de Sauveterre, en face du hameau de La Capelle.

Une vie dans la guerre

Au cours d’une balade sur l’Aubrac, on tombe sur cette plaque en souvenir d’Otto Kühne et ses compagnons allemands.

Dans le Tarn

Profitant d’un timide déconfinement et des beaux jours de mai, tout le monde sort, c’est le temps des balades, randonnées et pique-niques…

Gaztelugatxe

De la mer, on ne voit rien, qu’un îlot rocheux banal, il faut venir par la terre, là Gaztelugatxe est spectaculaire, avec son escalier de pierre en zigzag et sa chapelle perchée.

Trois Couronnes

C’est encore un sommet occidental des Pyrénées, à quelque 800 m d’altitude, qu’on voit partout au Pays basque, avec ses trois dômes caractéristiques, il se trouve du côté espagnol mais domine Hendaye et se voit de loin, à Biarritz par exemple dans les couchers de soleil qui attirent les touristes sur la corniche.

La promenade au phare

Par un jour mi-ensoleillé de novembre, au cap Higer, avec la côte basque française en face. Cette promenade au phare, ce n’est pas celle de Virginia Woolf en Ecosse, mais plus modestement d’un banal touriste en Espagne.

Jaizkibel

Un modeste sommet des Pyrénées, seulement 543 m, mais le dernier, le plus à l’ouest de la chaîne et donc surplombant la mer, Hondarribia, Hendaye, St Jean de Luz jusqu’à Biarritz, et le massif commençant à l’Est.

Pasaia

Pasaia, dessin de Victor Hugo, 1843

A deux pas de la France, entre San Sebastian et Hendaye, la ria de Pasaia, encaissée entre les montagnes, est un endroit de rêve qui a conservé son charme depuis Victor Hugo – il a séjourné ici en 1843 – malgré l’extension du port moderne sur la rive gauche. Une marina accueillante se trouve en face, à Pasajes de San Juan, ou Pasai Donibane, on se met en bout de ponton, à couple si la place est déjà prise.