Il est rare qu’on se trouve au cœur d’un cyclone, mais il est fréquent (pour peu qu’on habite dans une région concernée) d’attendre son passage et de n’en voir que la queue. Jusque-là, pour nous, à Madagascar (île Ste Marie et Tamatave), à la Réunion, ou dans le Sud des Etats-Unis, c’est la deuxième option qui s’est présentée, pas de « direct hit ».
Article Figaro