
José Manuel estudiando, 1922, Nicanor Piñole, musée de Gijon
des XVIe et XVIIe siècles, à la bibliothèque de l’université d’Evora. En consultant cette merveilleuse collection, on se retrouve un cœur d’enfant, comme celui de Baudelaire dans Le Voyage :
Pour l’enfant, amoureux de cartes et d’estampes,
L’univers est égal à son vaste appétit.
Ah ! que le monde est grand à la clarté des lampes !
Aux yeux du souvenir que le monde est petit !Un matin nous partons, le cerveau plein de flamme,
Le coeur gros de rancune et de désirs amers,
Et nous allons, suivant le rythme de la lame,
Berçant notre infini sur le fini des mers.
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