La côte basque, montagneuse et découpée, est truffée d’abris, d’anses, de niches, de rias, que les hommes ont complétés au fil des siècles en construisant des digues et des jetées, elle fournit autant de ports où on peut faire escale, à des distances courtes, chacun étant différent, avec sa personnalité, sa configuration particulière, qui fait que les sociétés humaines diffèrent des termitières, des fourmilières ou des ruches. Une variété infinie, liée au relief, aux rivières qui dévalent des montagnes, aux îlots et aux estuaires. Le croisiériste tranquille n’a que l’embarras du choix pour s’arrêter, dans les soirées sans fin du mois de juin.
Les mecs des Sorlingues, ils sont pas dingues. Ils sont même plutôt heureux, enfin par beau temps. Quant aux autres…