Le supplice des coins, ou des brodequins, 1867, le peintre et sculpteur Alonso Cano, le Michel-Ange espagnol, accusé d’avoir tué sa femme, y est soumis. Amour de l’auteur pour l’histoire et la peinture espagnoles. Le sculpteur, par la suite innocenté, ressemble ici aux saints martyrs des tableaux religieux.
Le musée de Caen a une partie consacrée à Théodule Ribot, le Ribera français, par le style, le clair-obscur, les couleurs sombres, le dessin des personnages, deux siècles après le maître espagnol. Ce n’est pas très gai, un voyage dans la pénombre.
"Après Rio, toutes les autres villes vous semblent ternes, monotones, trop ordonnées, trop simples ; tout semble vide, fade, dégrisé,…