Seixal est un petit village de pêcheurs sur le Tage, un ferry régulier permet de rejoindre Lisbonne à toute heure. C’est aussi un mouillage gratuit et bien protégé et le lieu de divers chantiers à sec pour la plaisance, dont Tagus Yacht Center, en fait à Amora, en face. Thula Thula y passe une partie de l’hiver et du printemps 2018 pour les travaux et la peinture habituels. La « Fête de l’Huma » portugaise se déroule ici en septembre : Avante! Festival. Avante! est l’organe du PCP.
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Seixal
28 mars 2018Le voyage en Amérique
15 août 2017de Thula Thula, 2011-2017, près de six ans passés dans le Nouveau Monde, de décembre 2011 à avril 2017, dont cinq aux US, sur la côte Est et dans le golfe du Mexique, entre la Nouvelle Orléans, le plus à l’Ouest, et Mount Desert Island, dans le Maine, le plus à l’Est (et au Nord…). Avec des allers-retours en Europe en avion bien sûr. Un petit essai de bilan de cette expérience de voile et de plaisance en Amérique.
Goodbye to Miami
5 juillet 2017Dernières semaines à Miami, début 2017
Un printemps agité
5 juillet 2017Il a d’abord fallu préparer le bateau, le sortir de l’eau à Hurricane cove, en traversant le downtown Miami, au milieu des gratte-ciel, avec une douzaine de ponts à passer. Faire la peinture de la coque (antifouling), le polishing, réparer le safran (plein d’eau), changer les joints du saildrive, changer la pompe à eau, changer le moteur des toilettes, etc. Puis l’électronique, nouveau pilote automatique, nouveau plotter GPS Raymarine, les instruments ayant été probablement grillés au mouillage lors d’un orage, par le contrecoup d’un éclair… Tout ça a pris plus d’un mois jusqu’en avril.
Sur le bord du cyclone
12 octobre 2016Il est rare qu’on se trouve au cœur d’un cyclone, mais il est fréquent (pour peu qu’on habite dans une région concernée) d’attendre son passage et de n’en voir que la queue. Jusque-là, pour nous, à Madagascar (île Ste Marie et Tamatave), à la Réunion, ou dans le Sud des Etats-Unis, c’est la deuxième option qui s’est présentée, pas de « direct hit ».
Miami-Fort Lauderdale-Miami
3 avril 2016Avec Claire et Laurent. Itinéraire.
Key West-Miami
24 mars 2016For those in peril on the sea
9 mars 2014Le dernier-né des musées de Miami, le Pérez Art Museum (PAMM), magnifiquement situé sur le waterway, consacré à l’art moderne. Il doit son nom (et son existence) à un milliardaire argentin, installé aux Etats-Unis depuis 1968, Jorge Pérez.
À Miami
25 février 2014Quelques images de Miami, la grande métropole américaine, mi latino mi anglo.
Key Biscayne, Key Largo, Islamorada, Key West
24 février 2014Pour des noms évocateurs, ce sont des noms évocateurs – Hollywood, E.G. Robinson, Lauren Bacall et Humphrey Bogart ont laissé une marque indélébile* -, cependant ce n’est pas tout à fait le rêve pour les plaisanciers : en termes de mouillages, de plages et d’eaux translucides, ça ne vaut pas les Bahamas et de loin. Pas étonnant que les gens d’ici, je veux dire les Nord-Américains, aient investi ces dernières en force, le terrain de jeu est immense et sans pareil, les Keys n’en sont qu’un pâle succédané, à part Key West qui a vraiment de la gueule.
Il s’agit du chapelet d’îles, reliées par une route, qui prolonge la Floride vers le sud-ouest, vers Cuba. La partie la plus au sud des Etats-Unis, si on excepte Hawaii, sous le tropique exactement (120 km au nord en fait), si bien que lorsque le reste du continent nord-américain gèle sous les tempêtes de neige, en plein hiver, ici il fait 27° et grand soleil
Biscayne bay
22 février 2014La grande baie au sud de Miami, à Dinner Key marina, Coconut Grove, Crandon Park marina, Key Biscayne, No Name Harbor et Stiltsville.
À Miami Beach
20 janvier 2013Ancienneté de la présence juive en Europe
En plein milieu de Miami Beach, lieu évoquant surtout la douceur de vivre, un mémorial de l’holocauste, baigné de soleil, bien loin de l’épouvante qu’il rappelle. (more…)
Coral Gables & Coconut Grove
13 décembre 2012En visitant Vizcaya* à Miami, le palais d’un magnat du Gilded Age, James Deering, dont la fortune venait des machines agricoles, devenues par la suite Harvester International, on apprend que cette magnifique demeure a été construite conjointement avec son ami et architecte Paul Chalfin. Sur la notice Wikipedia de Deering, on lit qu’il ne s’est jamais marié, que le domaine est passé à ses nièces. Sur celle de Chalfin, on constate que l’artiste n’a pas construit d’autre bâtiment, seul Vizcaya l’a intéressé, il y a consacré une bonne partie de sa vie. De quoi mettre la puce à l’oreille. A une époque où il n’était pas bon être homosexuel, c’est celle où Oscar Wilde le paya de la prison et d’une vie brisée, les deux hommes formaient un couple. Un couple raffiné, de mondains (socialite), d’esthètes, rendant un culte ardent à l’Europe, évident dans la visite de Vizcaya. John Singer Sargent, qui a fait ce beau portrait de Deering, était lui-même gay. Celui de Chalfin est dû à Albert Sterner.
Inlets sur le waterway
28 juin 2012De Miami à Stuart, à quelque 100 milles au nord, on a pris moitié le Waterway, moitié par la mer. Le problème réside dans les entrées, les inlets, avec les hauts-fonds et les courants, certains sont faciles, larges, profonds, comme ceux de Fort Lauderdale, Miami bien sûr, Palm Beach, Fort Pierce, mais d’autres sont très délicats, parfois impraticables pour un quillard. Avec le vent contre le courant de marée, c’est sportif, comme celui de Port Saint Lucie, le dernier emprunté, ou en plus on a failli s’échouer une fois le passage agité dépassé. En jaune, itinéraire suivi avec Jake, en orange, avec Michel, en voiture un dimanche, vers le lac Okeechobee
https://www.francetvinfo.fr/replay-jt/france-2/20-heures/inde-la-bataille-des-cerfs-volants-bat-son-plein-durant-le-festival_5696597.html