Óbidos est le Carcassonne ou le Rothenburg portugais, quoiqu’il y ait d’autres cités au Portugal pouvant valoir la comparaison. La ville fortifiée est à 17 km de Peniche, un aller-retour facile en bus. Déjà en mars, les touristes abondent, notamment japonais, en groupe compact derrière leur guide.
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Óbidos
14 mars 2019Dans les ‘îles’ de Porto
15 février 2019Les ilhas de Porto sont situées dans les quartiers populaires, ouvriers, ce sont des impasses étroites où les maisons se touchent, collées à des murs proches, logements très exigus mais propres et pleins de fleurs et de plantes, avec parfois des vues sur le Douro et ses ponts. On est loin des favelas de Rio, caractérisées par un chaos indescriptible, là dans les îles on ne peut pas dire que « Tout n’est qu’ordre et beauté, etc. », mais comparées aux bidonvilles cariocas, peut-être que oui après tout.
En tout cas, elles ont ouvert une nouvelle forme de tourisme, merci à notre guide franco-portugais hors pair, Ricardo, et à Loïc qui l’a trouvé. Infographie sur leur histoire.
De ces quartiers pauvres, et du reste du pays, surtout au nord, sont partis les contingents de travailleurs portugais vers la France, dans les années 1960. Ils y ont trouvé les vrais bidonvilles. Le photographe haïtien Gérald Bloncourt, disparu récemment, a retracé leur odyssée.
Santiago do Cacém
3 septembre 2018De beaux remparts, rénovés au XXe siècle, une belle église, en contraste blanc sur le reste du château. C’est Santiago de Cacém, du nom d’un cheikh, Kassen, à l’origine de cette construction au VIIIe siècle, sur une butte dominant la ville, la vallée et Sines au loin. Depuis le XIXe, l’intérieur est devenu le cimetière de la ville. Elle est un point de départ de la Rota Vicentina.
De nombreux peuples et envahisseurs se sont succédé sur cette colline, puis dans ce château, depuis les Celtes, avant les Romains, les Alains et les Wisigoths, et même les Byzantins, venus de si loin en Orient, puis les Maures, pris et repris enfin par les chrétiens qui formeront le Portugal.
Alizés portugais
22 août 2018L’homme illustre regarde l’horizon pour l’éternité
Les alizés portugais en été, ces vents réguliers du nord-ouest, vous emmènent facilement vers le sud, Sines est à environ 70 milles de Lisbonne, avec un arrêt possible à Sesimbra, à peu près à mi-chemin. L’aller est donc sans problème, en douze heures, de Parque das Nações, en haut du Tage (il faut déjà trois heures pour sortir de l’estuaire) jusqu’à la ville qui a vu la naissance de Vasco da Gama. Arrivé là, excellente surprise, il y a un mouillage très protégé au pied du fort en plein centre ville et devant la marina de Sines. Nuit parfaite, réveil de rêve dans la brume, avec les murailles qui se dégagent peu à peu. Une plage très populaire en croissant va du port de pêche à celui des plaisanciers. Les environs de Sines sont industriels, pleins de cheminées partout, la ville est ouvrière et populaire, mais du mouillage on ne voit rien de ces raffineries et autres tours disgracieuses.
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