Les années 1900 sont aussi l’époque où les supplices chinois entrent en force dans les clichés et l’imaginaire occidentaux, en témoigne par exemple le succès du livre d’Octave Mirbeau, Le jardin des supplices, paru en 1899. La pratique japonaise du Hara Kiri également. En tout cas, Claude Farrère illustre ces deux thèmes dans son roman, La Bataille (1911). Le second avec l’officier Hirata, qui a survécu à l’affrontement avec les Russes, et qui va s’ouvrir le ventre pour préserver son honneur, laver la faute qui a consisté à mettre en doute le patriotisme et l’attachement aux valeurs traditionnelles de son collègue et ex-ami Yorisaka (voir ici). La victoire étant totalement acquise pour le Japon, il met fin à ses jours en toute tranquillité, l’empereur pouvant se passer de ses services.
La CornouailleS par grand beau temps, on en redemande. Le Mont Saint Michael sur son rocher est moins grandiose que…